BiToPo-Magloire

"Urbi et Orbi" est l'expression consacrée pour dire que le pape s'adresse non seulement à ceux qui sont à Rome, la ville aux sept collines (Apocalypse 17, verset 9) où siège le Vatican, mais au monde entier. Ce titre nous a été inspiré par le rituel de bénédiction dit "urbi et orbi" de la liturgie catholique, qui est celle prononcée par le pape du haut du balcon de la Basilique Saint-Pierre les jours de Pâques, de Noël et en d'autres occasions exceptionnelles.

L'expression signifie « À Rome et au Monde », symbolisant le fait que le pape s'exprime à la fois en tant qu'évêque de Rome, et en tant que pasteur universel de l'Église, s'adressant ainsi au reste du monde, c'est-à-dire la Terre, l'univers.

 

Pour revenir au Mystère de Fatima, c'est exactement ce que l'Eternel YHWH attendait du Vatican pour la publication de l'Annonce transmise le 13 juillet 1917 par la Dame du ciel, s'exprimant au nom du Créateur des cieux et de la terre: que cette Nouvelle soit publiée urbi et orbi pas plus tard que l'an de grâce 1960 (Luc 4 : 19).

Cette Nouvelle constitue le fameux Troisième Secret de Fatima.

 

Or qu'advint-il en 1960 ? En bref, le pape qui dirigeait le Vatican à l'époque, Jean XXIII en

l'occurrence, fit grand bruit sur la publication du Secret, ce que le monde entier attendait 

avec impatience depuis plus de 40 ans. D'après certaines sources, Jean XXIII entra dans la

salle des archives du Vatican, fit sauter les scellés apposés sur l'enveloppe contenant le

Secret, lut la Nouvelle transmise par la Dame du ciel aux petits bergers de Fatima 

et... s'effondra, en état de choc. Il prit alors la décision -- que nous considérons comme 

fatale compte tenu de la teneur du Message -- de ne pas publier la Nouvelle.

 

En clair, le pape décide, de sang froid, de désobéir à un ordre venu du Ciel,

c'est-à-dire du Créateur, et place ainsi le Vatican dans la terrible perspective de

porter le poids et les conséquences de toutes les catastrophes survenues sur la Terre 

depuis la fatidique échéance de 1960 !

 

Le successeur de Jean XXIII, Paul VI qui, forcément, est mis au courant de la teneur du

Message transmise au monde par la Dame du ciel, adopte la même attitude: celle du

silence, nous dirions mieux: celle de la FORFAITURE !

 

Le cardinal Albino Luciani, élu pape sous le nom de Jean-Paul 1er, voulut dire la Vérité. Son

règne en fut écourté: 33 jours et 6 heures seulement à la tête de la curie romaine.

 

Jean-Paul II, ah ! Jean-Paul II... De tous les papes, c'est celui qui, forcément, devait révéler

le Secret. Nous avons déjà eu l'occasion de mettre le doigt sur un point particulièrement

sensible. Les autres papes n'avaient pas grandi dans un contexte où l'on pouvait

se familiariser avec l'idée d'UN CHRIST NOIR. Lui, si. Car la Pologne, son pays d'origine,

l'une des nations les plus catholiques au monde, adore depuis le 15e siècle

une Madonne et un Christ... Noirs !

 

C'est en outre le seul pape qui a reçu un avertissement solennel venu du Ciel

le 13 mai 1981, à 17 h 19 (voir notre article précédent).  Comment donc

Jean-Paul II a-t-il pu, en juin 2000, mentir urbi et orbi, en faisant publier une

message prétendument extrait de l'enveloppe scellée en son temps par Lucia

dos Santos, l'unique survivante des pastoureaux de Fatima ? Et ce, malgré

l'avertissement du 13 mai 1981, se mettant ainsi lui-même dans la posture

de l'Antichrist décrite dans Apocalypse 13, verset 3 !

 

Comble de l'ironie -- nous dirions, nous, à juste titre, comble du blasphème -- 

LE PAPE SE SERT DE  L'AVERTISSEMENT DU 13 MAI 1981 POUR EN FAIRE...

LE TROISIEME SECRET DE FATIMA ! Voici ce qu'en disent grosso modo les médias : 

 

 

"Dès l’annonce du cardinal Sodano, le Vatican a identifié l’«évêque vêtu de blanc» comme Jean Paul II et son assassinat comme l’attentat perpétré par Ali Agca en 1981. Mais cette révélation et son interprétation officielle ont immédiatement suscité des perplexités. Nombreux sont ceux qui, entre autres, ont fait remarquer une différence entre ce que le cardinal Sodano avait dit le mois précédent à Fatima, lorsqu’il avait parlé d’un pape qui «tombe par terre comme mort», et le texte écrit, dans lequel on parle d’un pape indiscutablement «tué». 

 

Pourquoi sommes-nous persuadés à 100% que la publication par le Vatican du Secret en juin 2000 est un faux? Nous passerons sur de très nombreux autres arguments qui, tous, vont dans le sens d'un FAUX MESSAGE, pour n'en garder qu'un seul : L'ANNONCE DU SECRET N'A EU AUCUNE INCIDENCE SUR LE COURS DE L'HISTOIRE DE L'HUMANITE...

 

Pensez donc ! L'Eternel YHWH envoie une Messagère parler aux hommes -- en l'occurrence des petits bergers --

SIX FOIS au cours d'une même année (1917) et ce, le 13 de chaque mois; devant l'incrédulité coutumière des hommes Il fait un miracle jamais vu, la Danse du soleil du 13 octobre; Il arrête la Grande Guerre de 1914-1918 puis demande que le Message qui est à l'origine de toute cette effervescence spirituelle soit publié en 1960... Le pape Jean XXIII a un malaise en lisant le texte et décide dans la foulée de ne pas le publier. Et tout cela, pour s'entendre dire 40 ans plus tard qu'il s'agissait de l'annonce d'un éventuel attentat contre un évêque vêtu de blanc !

 

Après l'annonce de ce faux message, comme il fallait s'y attendre, le monde a poursuivi son train-train de massacres et catastrophes en tous genres, les guerres succédant aux guerres, le désespoir étant le lot quotidien de centaines de millions d'êtres humains qui, en tant qu'enfants de Dieu, ont aussi le droit de jouir du bonheur que le Créateur a préparé pour tous (cf Actes 14 : 17).

 

Le but de la publication du Secret a été ainsi rendu  inopérant, sans effet, par la volonté du Vatican: ce but était qu'à partir de la divulgation du Message de Fatima, si le monde tournait dans le sens des aiguilles d'une montre, qu'il se mette illico à tourner dans le sens contraire, ouvrant ainsi une nouvelle ère, celle du règne du Christ ! C'est ce que nous allons voir dans les prochains articles.